RICONTRANS Project

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    From Petersburg to Shipka via Mount Athos: Slavic Saints on the Shipka Iconostasis
    (Institute of Slavic Studies, Polish Academy of Sciences, 2024-10-31) Gergova, Ivanka
    The article explores the images of Slavic saints on the iconostasis of the Russian Memorial Church in the town of Shipka in Bulgaria, which were completed in 1899–1901 at the Russian Saint Panteleimon Monastery on Mount Athos. Its main objective is to analyze the iconostasis’s conceptual framework, the meanings behind the selection of the saints, as well as the main iconographical models utilized. The Committee for the Construction of the Memorial Church and its chairperson Count Nikolay Ignatyev conceived of one tier of images of saints depicting the heroes of the Russo-Turkish War of 1877–1878, while a number small icons would feature local Bulgarian and Slavic saints that were to be selected by the monks themselves. The icon painting monks mainly relied on Archbishop Philaret of Chernigov’s book The Saints of the Southern Slavs with engravings by academician Fedor Solntsev as the main source and model for their depictions of saints.
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    Historical Research meets Semantic Interoperability: The Documentation System SYNTHESIS and its Application in Art History Research
    (The University of Tokyo, 2022) Fafalios, Pavlos
    We present the SYNTHESIS documentation system and its use in the context of a large European research project of Art History, called RICONTRANS. SYNTHESIS is Web-based, multilingual, and configurable for use in other digital humanities fields. It focuses on semantic interoperability and achieves this by making use of standards for data modelling (CIDOC-CRM). The aim is the production of data with high value, longevity and long-term validity.
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    Art byzantin et peintres français au XIXe siècle sur le Mont Athos
    (Université de Poitiers, 2023) Seraïdari, Katerina
    The article examines the interest, which arose around Byzantine art in France around the 1840s and which led to the discovery of Panselinos’ work on Mount Athos, but also of a tradition favoring a collective way of doing – this artistic tradition being already threatened by Russian influence. Two French painters are at the center of the article: Alexandre Bida, who painted the Refectory of Greek monks on Mount Athos but who, apparently, never visited this place; and Dominique Papety, who stayed there for a little more than a week during the summer of 1846 but who made a great number of drawings during his visit. The work of these painters shows Mount Athos as a place of artistic production, conservation and transmission. It also places this monastic peninsula and its inhabitants, deliberately staying at the margins of society, in the center of artistic debates in France.
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    The Painter Grigorie Popovici and His Master Jovan
    (Muzeul Naţional al Unirii Alba Iulia, 2021) Cojocaru, Cristina
    Grégoire Zugravul (‘le Peintre’), connu toute sa vie comme Papathodor, Popovici et Frujinescu, a été l’un des peintres les plus importants de la Valachie à la fin du XVIIIe siècle et l’initiateur du courant d’occidentalisation dans l’art local. Constantin Săndulescu-Verna a découvert dans un carnet de croquis ayant appartenuau peintre que Grégoire est né près de Bucarest, dans le village de Frunzănești, au sein de la famille du prêtrepeintre Tudor, et qu’il a fait son apprentissage en 1766, à la l’âge de 16 ans, auprès d’un certain maître Jean / kirIancu. Ensemble, les deux hommes ont voyagé pendant dix ans sur le territoire de l’Empire des Habsbourg etont signé ensemble l’iconostase du monastère de Lepavina en Croatie, ainsi que celui de l’église de la Nativité de Saint-Jean-Baptiste à Székesfehérvár, en Hongrie. De retour en 1777, Grégoire a commencé une carrière prolifiqueen tant que peintre d’icônes; mais il a également peint les fresques de l’Église de l’Icône (Biserica Icoanei) àBucarest, des enluminures de manuscrits et des peintures à l’huile, y compris la vaste composition historique représentant Nicolas Mavrogheni distribuant des récompenses aux soldats qui avaient participé aux combatscontre les Autrichiens (1789), aujourd’hui dans les collections du Musée National d’Art de Roumanie, à Bucarest. Jusqu’à présent, cependant, l’identité de Maître Jean et la portée européenne de la carrière de Grégoire n’étaient pas connues en Roumanie. On considérait à tort que Jean devait être un peintre local, identifié soit au maître de l’école de peinture de l’évêché de Râmnic, soit à Ivan ‘le Russe’ (Rusul), maître de l’école de peinture du monastère de Căldărușani. Plus récemment, C. Săndulescu-Verna et M. Sabados ont supposé qu’il pouvait être d’origine balkanique, mais sans réussir à repérer son identité précise : peut-être un peintre grec ou macédo-valaque. La présente étude relie pour la première fois les recherches roumaines sur ce sujet à celles menées en Serbie(Aleksandra Kučeković), Bulgarie (Emmanuel Moutafov) et Bosnie-Herzégovine (Ljiljana Ševo). Les documents permettent d’identifier ‘kir Iancu’ avec Jovan Četirević Grabovan, aroumain d’Albanie, auteur de fresques dusanctuaire et de la nef de la cathédrale épiscopale de Roman (Moldavie). La carrière de ce dernier est jalonnéepar les étapes d’un parcours remarquable pour cette époque. Ses voyages relient littéralement l’Occident à l’Europe de l’Est, de la Croatie en Russie à travers Buda et Bucarest, et dessinent une perspective entièrementnouvelle sur les relations qui animaient le milieu culturel des peintres valaques du XVIIIe siècle. Comme Jovan, son élève Grégoire a joué également le rôle d’un ‘véhicule’ exemplaire des transferts culturels entre Occident et Orient, maillon d’un grand réseau commercial et politique développé à l’intersection des trois grands Empires: ottoman, russe et autrichien. Il a influencé de manière décisive l’évolution de l’atelier de peinture du monastèrede Cernica et s’est imposé comme une figure clé de la scène artistique locale ; il a été l’un des premiers peintresà moderniser l’art local. Par-delà les éclaircissements qu’elle apporte sur l’apprentissage de Grégoire Popovici,cette étude permet aussi d’attribuer les icônes de l’iconostase de l’Église Manea Brutaru de Bucarest au peintreJovan Četirević Grabovan, et d’identifier dix nouvelles oeuvres du peintre Grégoire, y compris les fresques del’Église de l’Icône à Bucarest. Elle transcrit sept inscriptions inédites des icônes de cette église et identifie le ssources artistiques du cahier de modèles du peintre et des icônes de l’iconostase de la chapelle dédiée à Saint Lazare au monastère de Cernica dans un exemplaire de la Bible Ectypa ayant appartenu au même Maître Jean.
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    Russian Icons, 17th-18th c.
    (MDPI, 2023) Kalliga, Alexandra Eleni ; Alexopoulou, Athina Georgia
    The study aims to enhance our knowledge of the materials and techniques applied in the making of Russian, portable ecclesiastical paintings produced after the 16th century, and to evaluate a pilot, non-destructive, non-invasive, research methodology proposed for their examination. Based on research relating to the historical background of their production and distribution in the South, the availability of materials and the applied techniques, a non-destructive, non-invasive methodology is exploited to examine three triptychs and two polyptych side panels belonging to the collection of the Benaki Museum. As their small size and excellent state of preservation prohibit sampling, a study scheme based on visual examination, the implementation of a series of spectral imaging techniques (VIS, IRRFC, SWIR, UVL, RTI, X ray) and a non-invasive micro XRF analysis is tested. Fiber and wood-type identification are carried out microscopically. The collected information relates to the making of the frames and the supports, the design, the use of metal foils and pigments, the order of application of paint layers and the rendering techniques. Due to the non-destructive, non-invasive character of the procedure, organic constituents are not thoroughly examined. Use of an expected palette was confirmed, but the modelling proved rather sophisticated. Among the most interesting finds were the use of distinct pigment mixtures for the underpaints of the flesh parts and certain deviations from the expected rendering techniques. The methodology proved very effective in terms of its output, the global approach of the construction technique, the user-friendly application, the low cost and time consumption factors.